Juil 282008
 

Des écrits sur l’homosexualité au Japon datent des anciens temps, longtemps en arrière, en fait, à certain moment de l’histoire japonaise, l’amour entre hommes était vue comme la forme d’amour la plus pure.

Alors que l’homosexualité n’a jamais été vue comme un péché dans la société japonaise et la religion, la sodomie a été déclarée comme illégale en 1873, mais seulement officialisé quelques années après lorsque le décrêt a été rajouté dans le Code Pénal de 1880. Le contact des religieux occidentaux, et le désire d’apparaître « civilisé » ont influencé la façon dont l’homosexualité est vue par le gouvernement japonais et la population en général depuis la fin du dix-neuvième siècle.

Quelques considérations

Sources historiques

Des sources disponibles sur le comportement homosexuel dans le Japon ancient, comme dans la Chine ancienne, sont principalement littéraires. Bien qu’un Japon unifié existait depuis le quatrième siècle, les écrits historiques du Japon commencent avec le Kojiki (古事記), ou Ecrits des Choses Anciennes, dressé  durant le septième siècle. Alors que des références chinoises datant du sixième siècle après Jésus-Christ contiennent des références homosexuelles, des références similaires  commencent à apparaitre au Japon environ au dixième siècle. Ces références, au moins initialement, apparaissent suivre l’exemple chinois.

Comparaison avec l’Occident

A l’inverse de l’occident, au Japon le sexe n’est pas vue en terme de moralité, mais plutôt en terme de plaisir, de position sociale et de responsabilité sociale. Bien que l’attitude moderne envers l’homosexualité a changé, c’est fréquemment  vrai, même encore maintenant. Comme l’occident prémoderne, seuls les actes sexuels sont perçus comme étant homosexuel ou heterosexuel, pas les gens qui exécutent ces actes.

Terminologie

A l’origine, shudo, wakashudo et nanshoku étaient les termes utilisés durant la période Edo. Ces termes n’impliquent pas une identité spécifique, mais plutôt un comportement.

Actuellement, dôseiaisha (同性愛者, littéralement personne aimant quelqu’un du même sexe), gei (ゲイ, gay), homosekushuaru (ホモセクシュアル, homosexuel), rezu ou rezubian (レズ、レズビアン, transliteration de lesbienne) et homo(ホモ) sont les termes les plus communs. Alors que dôseiaisha est utilisé pour caractériser à la fois les hommes et les femmes, gei, homosekushuaru et homo sont utilisés exclusivement pour les hommes.

Le terme de gay est pratiquement jamais utilisé dans les discussions des sources anciennes et historiques à cause de la conotation moderne, occidentale, politique du mot et parce que le terme suggère une identité particulière, une de celle que les homosexuels, même dans le Japon moderne, n’identifient pas.

le terme homo peut être utilisé à la fois positivement et péjorativement. De nos jours, le terme gei (ゲイ, une transliteration de gay) et rezu ou rezubian (レズ、レズビアン, transliterations de lesbienne) sont les plus communs dans la communauté gay, bien que des termes largement péjoratifs comme okama sont aussi utilisés.

Ancien Japon

Le terme japonais nanshoku (男色) est la même lecture japonaise que le même caractère chinois, qui signifie littéralement « homme couleurs ». Le caractère 色 (couleur) a toujours un signification de plaisir sexuel à la fois au Japon et en Chine. Ce terme a été largement utilisé pour identifier des relations sexuelles homme – homme dans l’ancien Japon.

Selon Gary Leupp, les anciens japonais associaient nanshoku avec la Chine, un pays duquel les idées empruntées devenaient les bases pour la plupart de la haute-culture japonaise, incluant le système d’écriture (kanji, caractères chinois). La tradition japonaise nanshoku est profondément dessinée à partir de celle de Chine (voir l’homosexualité en Chine).

Une variété de références littéraires obscure sur l’amour avec une personne du même sexe existe dans les sources anciennes, mais la plupart de ces références sont si subtiles qu’elles ne sont peu sûres; une autre considération est que la déclaration d’affection pour des amis du même sexe était très commune.

Quoi qu’il en soit, des références existent vraiment, et elles sont devenues beaucoup plus nombreuses durant la période Heian, grossièrement au onzième siècle. Dans le Genji Monogatari (源氏物語, Conte de Genji), écrit au début du onzième siècle, les hommes sont fréquemment émus par la beauté des jeunes. Dans une scène, une femme est rejetée par le héro qui couchera avec le frère de celle-ci:

    Genji baissa le garçon contre lui . . . Genji, pour sa part, ou autant
qu’on puisse en être informé, trouvait le garçon plus attractif que sa froide
soeur.

Le Conte de Genji est une nouvelle, mais il existe plusieurs journaux de l’ère Heian qui contiennent aussi des références homosexuelles. Certaines d’entre elles contiennent aussi des références d’Empereurs impliqués dans des relations homosexuelles, et de « beaux garçons retenus à des fins sexuelles » par les Empereurs.

dans ces références peuvent être trouvé ce que Leupp appelle « des problèmes d’identité sexuelle » dans d’autres travaux littéraires, comme l’histoire d’un jeune homme tombant amoureux d’une fille qui est actuellement vétue comme un homme.

Les moines et l’Amour avec quelqu’un du même sexe

Les monastères bouddhistes apparaissent avoir été le centre précoce d’activité homosexuelles dans l’ancien Japon. Il était populairement expliqué que Kûkai, le fondateur de la secte bouddhiste Shingon, avait introduit le nanshoku au Japon après être revenu de la Chine des Tang au neuvième siècle. Toutefois, il ne parle pas de ce thème dans aucun de ses travaux majeurs. Il doit aussi être noté que toute activité sexuelle était expressément interdite par le Vinaya ou code de la discipline monastique pour les moines bouddhistes, et Kûkai était un défenseur enthousiaste du Vinaya. Au même moment, le Mont Koya, siège du monastère de Kûkai, devint un dicton pour parler de l’amour avec une personne du même sexe.

Toutefois ni le shintoisme ni l’interprétation japonaise du confucianisme contenait une interdiction. Suffisament de moines semblent avoir sentit que leur voeux de chasteté ne s’appliquait pas aux relations avec une personnes du même sexe pour que des histoires entre moines et jeunes apprentis, connu comme Chigo Monogatari furent relativement populaires, et de tels affaires était légèrement prise en dérision, lorsque la passion n’atteignait pas un niveau de violence, ce qui n’était pas rare. Les jésuites effarés faisaient des comptes rendus sur la ‘sodomie’ qu’il y avait parmi le clergé bouddhiste.

Les militaires et l’Amour avec quelqu’un du même sexe

A partir des cercles religieux, l’amour avec une personne du même sexe se développa à la classe guerrière, où il était coutumier pour un jeune samurai de faire son apprentissage auprès d’un homme plus vieux et plus expérimenté. Le jeune samurai devient son amant durant plusieurs années. Cette pratique était connu comme shudo, la voie de la jeunesse, et était portée en haut estime par la classe guerrière.


Samurai embrassant une jeune recrue: Makimono-e de Miyagawa Isshô (1750)

La classe Moyenne et l’Amour avec quelqu’un du même sexe

Lorsque la société japonaise se pacifia, la classe moyenne adopta de nombreuses pratiques de la classe guerrière, dans le cas du shudo lui donnant une interprétation plus mercantile. De jeunes acteurs kabuki travaillent souvent comme prostituées en dehors des représentation, et étaient célèbres de la même façon que le sont les stars des médias le sont actuellement, devenant très recherchés par les riches patrons, qui rivalisaient les uns avec les autres pour acheter leurs faveurs.

La prostitution masculine qui s’adressait à la clientèle homme, connu comme kagema, était aussi disponible.

Les arts et l’Amour avec quelqu’un du même sexe

Ces activités étaient le sujet de nombre incalculables de travaux littéraires, dont la plupart reste à être traduite. Toutefois, des traductions anglaises sont disponibles pour Ihara Saikaku qui a créé un caractère principal bisexuel dans The Life of An Amorous Man (1682), Jippensha Ikku qui créa une relation initiale gay dans la post-publication « Préface » de Shank’s Mare (1802 et seq), et Ueda Akinari qui a un moine bouddhiste homosexuel dans Tales of Moonlight and Rain (1776). Comme de nombreux grands artistes de la période, comme Hokusai et Hiroshige, qui s’enorgueillaient de documenter de pareils amours dans leur impressions, connu comme Ukiyo-e, images du monde flottant, et où ils donnaient un ton érotique, shunga, ou images de printemps.

Homosexualité dans le Japon Moderne

Malgré les récentes tendances qui suggèrent un nouveau niveau de tolérance, autant que des scènes ouvertes dans des villes cosmopolites (comme Tokyo et Osaka), les homosexuels japonais dissimulent souvent leur sexualité; avec beaucoup d’entre eux qui se marient avec une personne du sexe opposé pour éviter les discriminations.

Politiques et lois

Le Japon n’a pas de loi contre les activités homosexuelles, et possède des systèmes de protections légaux pour les homosexuels. De plus, il y a aussi des protections légales pour les individus transexuels.

Il n’y a pas d’interdiction explicite religieuse contre l’homosexualité dans les religions traditionnelles japonaises: Shintoisme, Bouddhisme ou Confucianisme. L’homosexualité parmi les moines bouddhiste et les samurai n’était pas rare (voir shûdo). La sodomie a été criminalisée en 1873, au début de l’ère Meiji, pour s’accorder avec les croyances nouvellement introduites de la culture occidentale. Mais l’application ne fut mise en oeuvre que sept ans plus tard par la Code Penal de 1880. Depuis lors, le Japon n’a pas de loi contre l’homosexualité. Techniquement, le sexe entre adultes consentant, en privé, quelque soit l’orientation sexuelle et/ou le sexe de la personne, n’est pas un crime sous la législation Nationale. Toutefois, certains gouvernements locaux et préfectures ont indirectement traité l’homosexualité en edifiant des loirs qui augmente efficacement l’age de consentement pour les conduites homosexuelles à dix-huit, dans le but de « protéger la jeunesse ».

Le sexe consensuel entre adultes du même sexe est légal, mais certaines préfectures établissent l’age de consentement pour les activités sexuelles avec une personne du même sexe à un niveau supérieur que celui avec une personne du sexe opposé.

Alors que les loi des droits civils ne s’étendent pas jusqu’à la portection des discriminations basées sur l’orientation sexuelle, certains gouvernements ont édifiés de telles lois. Le gouvernement de Tokyo a passé des lois qui banissent les discrimination à l’embauche basée sur l’identité sexuelle.

Le principal partie politique exprime très peu de support et d’aide pour les droits des gay. Malgré les recommendations du Conseil pour la Promotion des Droits de l’Homme, le Diet (chambre legislative) n’a pas encore pris d’action concernant l’orientation sexuelle dans le code des droits civils du pays.

Certaines figures politiques, toutefois, commencent à parler publiquement de leur propre homosexualité. Kanako Otsuji, un femme de l’assemblée d’Osaka, annonça qu’elle était lesbienne en 2005. De ans plus tôt, en 2003, Aya Kamikawa devint le premier candidat transexuel à un poste d’affaires publiques au Japon..

Culture populaire

Un certain nombre d’artistes, presque tous des hommes, ont commencé à parler publiquement d’être gay, apparaissant dans divers talk-shows et autres programmes, leur célébrité se concentrant souvent sur leur sexualité; les jumeaux critiques de culture pop, Piko et Osugi en sont un exemple. Akihiro Miwa, drag queen et ancienne amante de l’auteur Yukio Mishima, est le porte-parole de la publicité télévisée pour de nombreuses entreprises japonaises allant de la beauté aux produits financiers. Kenichi Mikawa, un ancien chanteur d’idoles pop qui brouille désormais la frontière entre les costumes masculins et féminins et le maquillage, peut également être vu régulièrement sur divers programmes, tout comme l’artiste de travestissement Peter. L’auteur-compositeur-interprète et actrice Ataru Nakamura a été l’une des premières personnalités transgenres à devenir très populaire au Japon; en fait, les ventes de sa musique ont augmenté après qu’elle ait discuté de sa chirurgie de changement de sexe MTF (Male To Female, d’homme en femme) dans l’émission de variétés All Night Nippon en 2006.

Certains artistes ont utilisé des références stéréotypées à l’homosexualité pour accroître leur profil. Masaki Sumitani alias Hard Gay (HG), un comédien, est devenu célèbre après avoir commencé à apparaître en public portant un harnais en cuir, un pantalon chaud et une casquette. Sa tenue, son nom et sa marque déposée dans le bassin et ses cris lui ont valu l’adoration des fans et le mépris de nombreux membres de la communauté gay japonaise.

Ai Haruna et Ayana Tsubaki, deux célébrités transgenres de haut niveau, ont gagné en popularité et ont fait le tour de certaines émissions de variétés japonaises très populaires. En avril 2011, Hiromi, un mannequin, est sortie publiquement en tant que lesbienne.

Un plus grand nombre de personnages gays et transgenres ont également commencé à apparaître (avec des portraits positifs) à la télévision japonaise, comme la très populaire série télévisée Hanazakari no Kimitachi e et Last Friends. Le drama Ossan’s Love, un drama d’amour entre garçons a été diffusé pour la première fois en 2016 en tant que téléfilm autonome et a été étendu à une série télévisée en 2018. Le programme a eu un tel succès qu’une suite de film a été publiée l’année suivante intitulée Ossan’s Love: LOVE or DEAD. En 2019, les relations homosexuelles masculines sont devenues plus visibles avec le drame populaire adapté What Did You Eat Yesterday?.

Media

Le magazine gay Adonis (ja) du système d’adhésion a été publié en 1952.

En 1975, douze femmes sont devenues le premier groupe de femmes au Japon à s’identifier publiquement comme lesbiennes, publiant un numéro d’un magazine intitulé Subarashi Onna (Wonderful Women).

Avec l’augmentation de la visibilité de la communauté gay et la montée en puissance des médias pour le public gay, le Hadaka Matsuri (« Naked Festival ») est devenu un scénario fantastique pour les vidéos gay.

Les gei-comi (« gay-comics ») sont des bandes dessinées sur le thème de la romance gay destinées aux hommes gays. Alors que les bandes dessinées yaoi désignent souvent un partenaire comme un « uke » ou un récepteur féminisé, les gei-comi décrivent généralement les deux partenaires comme masculins et dans une relation égale. Un autre terme commun pour ce genre est bara, provenant du nom de la première publication de ce genre à gagner en popularité au Japon, Barazoku. Les œuvres de Yaoi sont massives et la plupart des médias créés par des femmes sont généralement destinés à un public féminin. En Occident, il est rapidement devenu l’une des formes de pornographie les plus recherchées. Il n’y a certainement pas de disparité entre yaoi en tant que thème pornographique, vs Yuri.

L’anime et le manga sur le thème de la romance lesbienne sont connus sous le nom de yuri (qui signifie « lis »). Il est utilisé pour décrire les relations femmes-femmes dans le matériel et est généralement commercialisé auprès des hétéros, des homosexuels en général ou des lesbiennes malgré des différences stylistiques et thématiques importantes entre les œuvres destinées aux différents publics. Un autre mot qui est devenu populaire au Japon en tant que terme équivalent à Yuri est « GL » (abréviation de « Girls ‘Love » en opposition à BL pour « Boys’ Love »). Il existe une variété de titres yuri (ou de titres qui intègrent du contenu yuri) destinés aux femmes, tels que Revolutionary Girl Utena, Oniisama e …, Maria-sama ga Miteru, Sailor Moon (notamment les troisième et cinquième saisons), Strawberry Shake Sweet, Love My Life, etc .; et il existe une variété de titres d’animes yuri tels que Kannazuki no Miko, Strawberry Panic !, Simoun et My-Hime. Comic Yuri Hime est un magazine manga de longue date au Japon qui se concentre uniquement sur les histoires yuri, qui ont gagné des fusions de ses autres bandes dessinées subsidiaires et fonctionne actuellement comme le seul magazine nommé Yuri Hime. D’autres magazines et anthologies de Yuri qui ont émergé au début du 21e siècle sont Mebae, Hirari et Tsubomi (ces deux derniers ont cessé de paraître avant 2014).

Anime et manga

De nombreux anime et manga contiennent des sujets gay; ils ciblent principalement les femmes, et ont une place normale chez les libraires. De nombreux termes sont utilisés pour les désigner au Japon.

Le terme couverture « yaoi » est un acronyme de la phrase « Yama nashi, ochi nashi, imi nashi » (ヤマなし、オチなし、意味なし), qui signifie « pas d’apogée, pas de chute, pas d’histoire » (« no peak, no point, no meaning »). Un acronyme décalé le traduit par « Yamete, oshiri (ga) itai » ce qui signifie littéralement par « Arrête, mon cul me fait mal ».

« JUNE » se réfère à des sujet contenant des drames et romances homosexuelles qui présente des personnages hommes mûrs adultes. « BL » (« Boys’ Love ») se rapporte à des histoires qui contiennent soit des jeunes garçons, ou des romances enjouées (comme une alternative pour du contenu plus sexuel). La phrase « shônen-ai » traduise du japonais dans le terme passé « boy love » est utilisé pour décrire des relations homosexuelles non sexuelles avec des personnages hommes adultes ou des jeunes garçons. Lorsque des manga ou anime décrivent des activités sexuelles entre jeunes garçons ou des jeunes garçons avec des adultes, il est repréenté par le terme « shota » qui ne doit pas être confondu avec « shônen-ai ».

Parmi la grande variété de fans en Amérique du Nord et en Europe, la terminologie est plus ou moins condensé en « yaoi » et « shônen-ai »; « Yaoi » est utilisé en référence à des descriptions graphiques de sexe homosexuel et ou drames adultes, et « shônen-ai » est utilisé en référence de situations romantiques avec des personnages jeunes..

Gei-comi (« gay-comics ») sont des bandes dessinées homosexuelle ciblant les hommes gay. Alors que les bandes dessinées Yaoi assignent souvent un partenaire à une rôle stéréotypé de femme hétérosexuelle, gei-comi décrivent généralement les deux partenaires comme étant tous deux virils et ayant une relation d’égal à égal.

Les contenu lesbiens est bien moins répandu, mais existe bel et bien, et est connu sous le nom de Yuri. Yuri est un terme générique, bien plus que Yaoi, peut-être à cause de la distribution de chacun. Toutefois, les fans américains et européens tendent à utiliser Yuri en référence aux histoires qui décrivent graphiquement du sexe lesbiens, et labellent les histoires purement romantiques de « shôjo-ai ». (ce qui crée fréquement une confusion, comme, au Japon, le terme « shôjo-ai » ne signifie pas un contenu lesbien; au contraire, il est utilisé pour décrire  des histoires de sexe explicite entre homme adulte et filles mineures.) Un autre mot qui est devenu très populaire au Japon comme équivalent de yuri est « GL » (signifie « Girls’ Love » et manifestement inspiré de « BL » (« Boys’ Love »).

Certains manga, attachent généralement des intérêts salaces plus ouvertement, ciblent directement le marché gay. Ils sont, cependant, rares et généralement non disponible sauf dans les librairies spécialisées.

Certains animes et manga qui ne ciblent pas spécifiquement  les femmes ou les homosexuels,  incluent parfois un personnage gay en second rôle, comme Monsieur 2 Bon Clay dans « One Piece », ou Akito Wanijima dans « Air Gear », qui sont des manga pour enfants.

sources: http://en.wikipedia.org/wiki/Homosexuality_in_Japan

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