Juin 182008
 


Titre: 七人の侍 – Les Sept Samurai
Autres Titres:
– The Seven Samurai
– Les sept samourai

Dirigé par  Akira Kurosawa
 
Scénario
– Akira Kurosawa
– Shinobu Hashimoto
– Hideo Oguni

Acteurs
– Takashi Shimura : Kambei Shimada
– Toshirô Mifune : Kikuchiyo
– Yoshio Inaba : Gorobei Katayama
– Seiji Miyaguchi : Kyuzo
– Minoru Chiaki : Heihachi Hayashida
– Daisuke Katô : Shichiroji
– Isao Kimura : Katsushiro Okamoto
– Keiko Tsushima  : Shino
– Yukiko Shimazaki : la femme de Rikichi
– Kamatari Fujiwara : Manzo, père de Shino
– Yoshio Kosugi : Mosuke
– Bokuzen Hidari : Yohei
– Yoshio Tsuchiya : Rikichi
– Kokuten Kodo : Gisaku, le vieil homme
– Jiro Kumagai : Paysan
– Eijirô Tono : Kidnappeur
– Haruko Toyama : la belle-fille de Ginsaku
– Tsuneo Katagiri : Fermier devant Gono
– Kichijiro Ueda : Eclaireur des Bandits capturé
– Jun Tatara : premier travailleur
– Yasuhisa Tsutsumi : Fermier devant Gono
– Atsushi Watanabe : Bun Vendor
– Toranosuke Ogawa : Grand-père de l’enfant kidnappé
– Yu Akitsu : mari
– Isao Yamagata : Samurai
– Sojin : Ménestrel aveugle (Sojin Kamiyama)
– Gen Shimizu : Samurai qui donne des coups de pied aux Fermiers
– Keiji Sakakida : Gosaku
– Shinpei Takagi : Chef des Bandits
– Shin Otomo  : Second commandant des Bandits
– Toshio Takahara : Samurai avec un pistolet (Shuno Takahara)
– Hiroshi Sugi : Propriétaire de la boutique de thé
– Miki Hayashi
– Sachio Sakai : deuxième travailleur
– Akira Tani : Bandit
– Sokichi Maki : Samurai au regard sinistre
– Haruo Nakajima : Bandit
– Ichirô Chiba : Prêtre Bouddhiste
– Noriko Sengoku : Femme de la famille Gono
– Fumiko Honma : Fermière
– Masanobu Ôkubo : Samurai
– Etsuro Nishijo : Samurai
– Etsuryo Saijo
– Minoru Ito : Samurai
– Hideo Shibuya
– Kiyoshi Kamoda : Samurai
– Senkichi Omura : Bandit qui s’échappe
– Takashi Narita : Bandit qui s’échappe
– Shoichi Hirose : Bandit
– Koji Uno : Bandit
– Hiroshi Agetsu : Mari Gono
– Ryutaro Amami : Bandit
– Goro Amano : Fermier
– Shizuko Hogashi : Femme de Fermier
– Tazue Ichimanji : Fermière
– Toku Ihara : Fermier
– Kaneo Ikeda : Samurai
– Kazuo Imai : Fermier
– Hisaya Ito : Samurai voyageant à travers la ville
– Koji Iwamoto : Fermier
– Kyoichi Kamiyama : Fermier
– Shigeo Kato : Fermier
– Masayoshi Kawabe : Fermier
– Michiko Kawabe : Femme de Fermier
– Ippei Kawagoe : Fermier
– Yoshikazu Kawamata : Fermier
– Akira Kichijoji : Fermier
– Yayoko Kitano : Femme de Fermier
– Fumiyoshi Kumaya : Fils de Ginsaku
– Akio Kusama : Bandit
– Masahide Matsushita : Samurai
– Jun Mikami : Bandit
– Sanpei Mine : Fermier
– Keiko Mori : Femme de Fermier
– Kyoji Naka : Bandit
– Eisuke Nakanishi : Fermier
– Toshiko Nakano : Femme de Fermier
– Junpei Natsuki : Fermier
– Hideo Oe : Fermier
– Yasuo Onishi : Fermier
– Matsue Ono  : Fermière
– Masako Oshiro : Fermière
– Hideo Otsuka : Fermier
– Keiko Ozawa : Fermière
– Haruya Sakamoto : Samurai
– Kyoro Sakurai : Samurai
– Takeshi Seki : Troisième travailleur
– Megeru Shimoda : Fermier
– Seiji Sunagawa : Bandit
– Misao Suyama : Fermière
– Jiro Suzukawa : Fermier
– Kazuo Suzuki : Fermier
– Toriko Takahara : Fermière
– Yuko Togawa  : Femme de Fermier
– Kamayuki Tsubono : Bandit
– Tomeko Umayato : Fermière devant Gono
– Michiko Uwamoto : Femme de Fermier
– Akira Yamada : Fermier
– Tatsuya Nakadai : Samurai voyangeant à travers la ville
– Kaneyuki Tsubono : Bandit

Produit par Sojiro Motoki
 
Musique originale de  Fumio Hayasaka
 
Dessin des costumes par :
– Kôhei Ezaki
– Mieko Yamaguchi
 
Département maquillage:
– Midori Nakajo  : coiffeur
– Junjiro Yamada : coiffeur
 
Production
Hiroshi Nezu : superviseur de production
 
Deuxième unité de direction ou assistant de direction
Sakae Hirosawa : assistant de direction
Hiromichi Horikawa : chef assistant de direction
Toshi Kaneko : assistant de direction
Masaya Shimizu : assistant de direction
Yasuyoshi Tajitsu  : assistant de direction
 
Département des arts
Kôhei Ezaki : consultant
Koichi Hamamura : maitre de propriété
Yoshirô Muraki  : assistant
 
Département du son
Ichirô Minawa   : directeur des effets sonores
Masanao Uehara  : assistant
Fumio Yanoguchi : enregistreur
 
Département Caméra et Electricité
Masao Fukuda  : photographe
Mitsuo Kaneko : assitant lumière
Shigeru Mori  : technicien lumière
Takao Saitô   : assistant caméra
 
Département d’Edition
Hiroshi Nezu : manager
 
Département Musical
Masaru Satô : assitant au compositeur
 
Autres Membres
Shigeru Endo  :  instructeur: tir à l’arc à cheval
Kôhei Ezaki   :  chercheur en folklore
Yuji Hamada   :  comptable
Ienori Kaneko :  instructeur en tir à l’arc
Toshio Nakane :  bureau des acteurs
Teruyo Nogami :  superviseur du scénario
Takeharu Shimada  :  assistant de production
Yoshio Sugino :  intructeur du combat à l’épée

Les Sept Samurai (七人の侍, Shichinin no samurai) est un film japonais de 1954, co-écrit, édité et réalisé  par Akira Kurosawa. Le film prend place durant la période des clans combattant au Japon (Sengoku  jidai), aux environs de 1587/1588. Il raconte l’histoire d’un village de fermiers qui engage sept  samurai sans maitre (ronin) pour combattre des bandits qui doivent revenir après les moissons pour  voler leur récolte.

Les sept samurai est fréquemment décrit comme un des films les plus grands et les plus influents  jamais fait, et il fait partie des rares films japonais mondialement connu en occident sur une très  longue période. Il est le sujet à la fois d’engouement populaire mais aussi de critiques; il fit  partie de la liste des dix plus grands films de tous les temps de Sight and Sound entre 1982 et 1992,  et reste parmis les dix plus grands films réalisés dans un sondage de 2002.

Sujet

Un gang de maraudeurs approche d’un village de montagne. Le chef des bandits reconnait qu’ils ont  rançonné ce village auparavant, et décide qu’il est plus intéressant de l’épargner jusqu’à ce qu’ils  terminent les moissons de l’orge dans quelques semaines. Un des villageois arrive à surprendre la  discussion. Lorsqu’il retourne à la maison avec cette nouvelle, les villageois sont partagés entre  deux choix: soient ils se rendent et donnent leur récolte, soit ils combattent les bandits. Dans la  tourmente, ils se rendent chez l’ancien du village, qui déclare qu’ils doivent combattre, mais en  engageant des samurai pour aider à défendre le village. Certains villageois sont génés par cette  suggestion, sachant que les samurai sont très chers à engager et sont connus pour leur attrait envers  les jeunes fermières, mais réalisent qu’ils n’ont pas le choix. Réalisant que leur village indigent  n’a rien à offrir à part de la nourriture, le doyen du village leur dit de trouver des « samurai  affamés ».

Les hommes vont à la ville, mais au début ne rencontre pas beaucoup de succès, étant toujours rembarré  par tous les samurai à qui ils demandent – parfois très rudement – parce qu’ils ne peuvent pas offrir  de paiement autre que trois repas par jour. Alors que tout semble perdu, ils parviennent à être témoin  d’un samurai agé (kambei) effectuant un sauvetage astucieux et dramatique d’un jeune garçon prit en  otage par un voleur. Intimidés, ils lui demandent s’il accepte de défendre leur village; et à leur  grande joie, il accepte. Kambei recruta alors cinq autre samurai sans maitre (ronin) de la ville, les  uns après les autres, chacun ayant un talent et des traits de caractère particulier. Bien que Kambei  avait à l’origine décidé que sept samurai serait nécessaire, il partit au village avec seulement cinq  compagnons parce qu’il commencait à manquer de temps. Un ersatz clownesque de samurai nommé Kikuchiyo,  que kambei avait rejeté pour cette mission les suivit jusqu’au village à distance, ignorant leurs  protestations et leur tentative de le renvoyer.

Lorsque les samurai arrivent au village, les villageois s’enferment dans leur maison de peur, espérant  protéger leurs filles et eux-mêmes de ces prétendu dangereux guerriers. Les samurai se sentent  insultés de n’avoir pas été accueillis chaleureusement, considérant qu’ils avaient offert de défendre  le village pour presque rien, et cherche une explication du doyen du village. Soudainement, l’alarme  retentit; les villageois de peur que les bandits soient revenu, se ruent dans leur maison pour se  cacher suppliant les nouveraux arrivant samurai de les protéger. Mais il apparait que c’est Kikuchiko,  qui a sonné une fausse alarme. Il critiqua les villageois paniqués pour courrir vers les samurai en  les implorant de les aider, alors qu’ils ont manqué à la simple civilité de les accueillir au premier  abord. C’est à ce moment que Kikuchiyo démontre qu’il existe chez lui une grande intelligence derrière  ses manières rudes et brutales et son attitude parfois ridicule. Les six samurai l’acceptent  symboliquement comme l’un des leurs, complétant ainsi le groupe de ronin en tant que « les sept  samurai ».

Alors qu’ils se préparent pour le siège, les villageois et leur guerriers engagés commencent petit à  petit à avoir confiance les uns envers les autres. Toutefois, lorsque les samurai découvrent que les  villageois ont tué et volé un samurai traversant leur village dans le passé, ils sont choqués et en  colère, et Kyûzô, le plus professionnel et le plus calme des samurai, commente même qu’il a envie de  tuer tout le monde dans le village. Le toujours clownesque Kikuchiyo critique passionnément les autres  samurai d’ignorer la difficultés que les fermiers rencontrent dans le but de survivre et se faire une  place où vivre malgré les intimidations et les harcèlements venant la classe des guerriers (et dans  l’explication il révèle ses propres racines comme fils de fermier). « Mais qui les as rendu comme ça? »  demanda-t-il. « Vous, l’avez fait! ». La colère qu’avaient ressenti les samurai se transforma en honte,  et quand le doyen du village, alerté par les clameurs que ces révélations créa, demanda d’où venait le  problème. Kambei répondit humblement qu’il n’y en avait pas. Les samurai continuèrent leur préapration  sans aucune nimosité, et peu après montrèrent de la compassion envers les fermiers lorsqu’ils  partagèrent leur riz avec une vieille femme, sa famille ayant été tuée  par les bandits, pleurant  qu’elle aurait envie mourir.

Les préparations pour la défense du village continue rapidement; incluant la construction d’une  fortification et l’entrainement des fermiers à la bataille. Katsushirô, le plus jeune des samurai,  comme une histoire d’amour avec la fille d’un villageois qui a été forcée à se déguiser en garçon par  son père, espérant la protéger contre les supposés luxurieux samurai.

Alors que l’heure du raide approche, trois bandits éclaireurs sont capturés, et l’un d’entre eux  divulgue l’endroit où se trouve le quartier général des bandits. Trois samurai accompagnés d’un guide  du village, décide de faire une attaque préventive. De nombreux bandits sont tués, mais un des  samurai, Heihachi, est touché par un coup de feu. Lorsque les bandits arrivent en force après le raid,  ils sont stoppés par les fortifications mises en place par les samurai, et de nombreux bandits sont  tués en essayant d’escalader les barricades ou les fosses croisées. Malgré tout, les bandits compte un  nombre supérieur de combattants entrainés, ils possèdent trois mousquets, et ils sont alors capable de  se contenir. Kyûzô décide de lui-même de faire un raid pour récupérer un de ces mousquet et revient  quelques heures plus tard avec ce dernier. Kikuchiyo, jaloux avec le respect et l’admiration que Kyûzô  gagna avec cette prise, particulièrement de Katsushirô, abandonna plus tard son post pour récupérer un  autre mousquet, abandonnant sont contingent de fermier dont il avait la charge. Bien qu’il réussit,  les bandit attaquèrent le post et tuèrent de nombreux fermiers. Kambei est alors forcé d’envoyer des  renforts du post principal pour mettre les bandits dehors, le laissant en sous-effectif lorsque le  chef des bandits chargea la position. Bien qu’ils soient repoussés, Gorobei est touché par un tir et  tué.

Durant la nuit, la relation amoureuse de Katsushirô est révélée, et après un tumulte initial, ses  aventures amoureuses apporte un soulagement comique à la milice assiégée.

Mis à part la défense, la stratégie initiale des samurai est de permettre aux bandits d’entrer par un  trou dans la fortification un par un en utilisant un mur amovible de lances, et de les tuer l’ennemi  isolé. Ce qui sera mis en oeuvre plusieurs fois avec succès, bien que plus d’un bandit réussissent à  entrer dans le village plusieurs fois. Lors de la seconde nuit, décide que les villageois sont  maintenant trop fatigués pour se battre et les prépare pour une bataille final et décisive. Lorsque le  matin apparait et que les bandits dont leurs attaques, kambei ordonne à ses forces de permettre aux 13  bandits restant d’entrer à la fois. Dans la confrontation qui s’en suit, la plupart des bandits sont  tués facilement mais le chef sans se faire voir prend refuge dans une hutte. Dans un acte extrêmement  déshonorant il tire sur Kyûzô dans le dos tout en étant en sécurité dans la hutte, le tuant. Un  Katsushirô atteré cherche à venger son héro, mais un Kikuchiyo enragé bravement (et aveuglément)  chargera droit devant lui, pour être touché au ventre par une balle du mousquet. Bien que mortellement  blessé, Kikuchiyo s’assurera de tuer le chef des bandits, prouvant finalement qu’il méritait le titre  de samurai, avant de mourir. hagards et épuisés, Kambei et Shichirôji, se font la réflexion tristement  « on a survécu une fois encore », pendant que Katsuhirô pleurent sur ses camarades tombés au champ  d’honneur. La bataille est finalement gagnée par les villageois.

Les trois samurai survivants, Kambei, Katsushirô, and Shichirôji sont laissés, observant les  villageois planter le riz de la prochaine récolte. Les fermiers ignorent maintenant les samurai, car  ils n’en ont plus aucune utilité. Les samurai réflechissent sur la relation qui unit les guerriers de  la classe paysanne: bien qu’ils aient gagné la bataille pour les fermiers, ils ont perdu leur amis  avec très peu de gratitude pour cela. « Cette victoire appartient aux paysans », murmura Kambei, « Pas à  nous ». Cette observation mélancholique montre de nouvelles lumières sur l’état de Kambei au début du  film lorsqu’il dit « n’avoir jamais gagné une bataille ». Ce qui contraste avec les chants et la joie  des villageois, dont le travail figurativement vital s’est imposé sur la guerre et a laissé tous les  guerrier comme la partie perdante.

Distribution des personnages

Les sept Samurai

* Kambei Shimada (島田勘兵衛, Shimada Kanbei) (Takashi Shimura) – Le chef du groupe et le premier  samurai « recruté » par les villageois, il est un sage samurai fatigué de la guerre.
* Gorôbei Katayama (片山五郎兵衛, Katayama Gorôbei) (Yoshio Inaba) – Le second samurai, recruté par  Kambei. Un archer talentueux, il agit comme le second en chef et aide à créer le plan principal pour  la défense du village.
* Shichirôji (七郎次) (Daisuke Katô) – Le troisième samurai. Il fut un adjoint de Kambei, Kambei le  rencontra par chance en ville et il reprit son rôle.
* Heihachi Hayashida (林田平八, Hayashida Heihachi) (Minoru Chiaki) – Le quatrième samurai, recruté  par Gorôbei. Un aimable bien que moins talentueux samurai, dont le charme et l’esprit, l’humour  maintiennent ses camarades dans une bonne humeur, face à l’adversité.
* Katsushirô Okamoto (岡本勝四郎, Okamoto Katsushirô) (Isao Kimura) – Le cinquième samurai. Un jeune  samurai d’une famille aristocratique qui veut être le disciple de Kambei.
* Kyûzô (久蔵) (Seiji Miyaguchi) – Le sicième samurai, qui initialement refusa l’offre de kambei de  rejoindre le groupe, mais changea d’avis plus tard. Un sérieux samurai, avec un visage de pierre et un  talentueux bretteur; Katsushirô a une dette envers lui.
* Kikuchiyo (菊千代) (Toshirô Mifune) – Le septième membre du groupe et le seul a ne pas être  vraiment un samurai. Un pourrait-être samurai (si on en croit son certificat de naissance falsifié)  qui a prouvé sa valeur. Il est mercurial et impulsif. De tous les samurai, il est celui qui identifie  le mieux les villageois et leur problèmes. Toujours frimeur, son épée est considérablement plus  imposante que celle des autres.

Les villageois

* Gisaku 儀作 (Kokuten Kodo) – Le patriarche et doyen du village qui dit au villageois d’engager des  samurai pour les protéger.
* Yohei 与平 (Bokuzen Hidari) – Un vieil homme timide qui partagea des scènes mémorable et comique  avec Kikuchiyo.
* Manzô 万造 (Kamatari Fujiwara) – Un fermier qui a peur pour la pureté de sa fille lorsqu’il est  entouré de ces samurai fringant.
* Shino 志乃 (Keiko Tsushima) – la fille de Manzô qui tombe amoureuse de Katsushirô.
* Rikichi 利吉 (Yoshio Tsuchiya) – Une tête brûlée et relativement jeune, qui a un lourd secret  concernant sa femme.
* Rikichi’s Wife (Yukiko Shimazaki) – On ne la voit pas dans la première partie du film, le  secrets de l’endroit où elle se trouve conduira à une tragédie.
* Mosuke 茂助 (Yoshio Kosugi) – Sa maison est une des trois qui se trouve excentrée et qui doit être  abandonnée pour pouvoir sauver les 20 autres du hameau principal.

Les bandits

* Le chef des Bandits  (Shinpei Takagi) Le chef de 40 bandits.
* Bandit Commandant en second (Shin Ôtomo)
* Bandit au mousquet (Toshio Takahara)
* Bandit sur le toit (Masanobu Ôkubo)

Notes sur la distribution

* Les acteurs jouant le rôle des trois samurai survivant furent les premiers à mourir dans la vie  réelle: Daisuke Katô (Shichirôji) décéda en 1975, Isao Kimura (Katsushirô) décéda en 1981 et Takashi  Shimura (Kambei) décéda 1982.
* Minoru Chiaki (Heihachi Hayashida), dont le personnage fut le premier à mourir, fut la dernière  star survivante (il décéda en 1999).
* Dans un commentaire apportée dans la collection de DVD Criterion, il est montré que Tatsuya Nakadai, un acteur qui deviendra un acteur principal des autres films de Kurosawa, fait une brêve, non  aperçu, apparition comme l’un des samurai que les villageois voient lorsqu’ils arrivent dans la ville  et que Seiji Miyaguchi, dont le personnage est un maitre d’épée, n’avait jamais porté une épée avant  cette scène.

Innovations structurales

Selon les commentaire du DVD de Michael Jeck, les sept samurai est parmi les premiers films à utiliser  le sujet peu commun de recruter et rassembler les héro dans une équipe pour accomplir un but  spécifique, un système utilisé dans des films comme les canon de Navarone, Ocean’s Elevent, Les douze  Salopard, et le western remake les 7 mercenaires (un système habituel pour les jeu de rôle  d’aventure).
La critique de film Roger Ebert se demande dans sa rétrospective si la sequence introduisant le héro  Kambei (dans laquelle le samurai se rase le noued dans les cheveux, signe d’honneur parmi les samurai,  pour passer pour un prêtre et sauver un enfant du kidnappeur) peut-être à l’ogine de la pratique,  maintenant très commune dans les films d’action, d’introduire le héro avec une tâche n’ayant aucun  lien avec le sujet principal du film.
D’autres sytèmes de sujet comme le héro réticent, la romance entre le plus jeune héro et une fille  locale, et la nervosité des citoyens lambdas sont déjà apparus dans d’autres films mais sont tous  combiné ensemble dans ce film.

Héritage

L’unique et la plus grande réalisation d’un réalisateur japonais à cette époque, les sept samurai  était un point tournant technique et créatif qui est devenu le film japonais qui a rapporté le plus et  posera un nouveau standard pour l’industrie du film. Son influence est très forte dans les films  occidental les Sept Mercenaires et adapté pour le Far-West dans lequel les samurai sont remplacé par  des flingueurs. De nombreuses scènes des sept mercenaires sont un miroir de celles des sept samurai à  quelques détails près, et le dialogue final est pratiquement identique « Le viel homme a raison. Seuls  les fermiers ont gagnés. Nous avons perdu. Nous perdons toujours. » Le film engendra quelques suites et  fut aussi adapté pour une courte série télévisé de 1998.

Le film indien Sholay (1975) emprunta ses prémisses de base des sept samurai et des sept mercenaires.  Le films fut déclaré par la BBC indienne « Film du millénaire » et est le film Indien qui a rapporté le  plus d’argent de tous les temps.

Un adaptation de science-fiction peut-être trouvé dans le version de Roger Corman Les Mercenaires de  L’Espace (1980) qui n’est pas seulement un hommage au sujet des sept samurai, il emploie aussi un des  acteurs du remake les sept mercenaires: Robert Vaughn.

Georges Lucas établie dans un commentaire du DVD Star Wars Episode III: Revenge of the Sith, que la  façon de Yoda de passer sa main sur son crâne (comme Kambei) est un clin d’oeil à Kurosawa et son  film. Aussi la igne sur le lot des fermiers dans la vie est de souffrir est aussi soulignée dans Star  Wars Episode IV: A New Hope, mais en tant que droïdes.

En 2004, la succession de Kurosawa approuva la production d’un anime remale du film, appelé Samurai 7,  produit par GONZO, qui apporte une version alternative dans un thème cyber punk de l’histoire  classique originale.


Samurai 7

Dans l’épisode de la sixième saison de Star Treck Deep Space Nine dont le titre est « The Magnificent  Ferengi » parodie aussi le film. Même la comédie de 1986 ¡Les 3 Amigos! emprunte de nombreux thème à  Kurosawa.

Le jeu Throne of Darkness donne au joueur le controle de sept samurai (quatre à la fois) qui ressemble  tous étrangementaux personnages du film, dans le rôle, le style de combat et l’apparence.

Récompense

Academy Awards, USA
1957 – Nominé – Oscar –
Best Art Direction-Set Decoration, Black-and-White So Matsuyama
Best Costume Design, Black-and-White Kôhei Ezaki

 
BAFTA Awards
1956 – Nominé – BAFTA Film Award
Meilleur film étranger.
Meilleur acteur étranger Toshirô Mifune Japan.
Meilleur acteur étranger Takashi Shimura Japan.
 
Jussi Awards
1959 – Gagné – Diplome du Mérite
Acteur étranger Takashi Shimura
Réalisateur étranger Akira Kurosawa

Mainichi Film Concours
1955 – Gagné – Mainichi Film Concours – Meilleur second rôle Seiji Miyaguchi
 
Satellite Awards
2006 – Nominé – Satellite Award – Meilleure vente de DVD

 
Venice Film Festival
1954 –
Gagné Silver Lion :  Akira Kurosawa
Nominé Golden Lion : Akira Kurosawa

sources : http://en.wikipedia.org/wiki/Seven_Samurai

Ma critique

Superbe film, poignant et captivant. Les recherches menées sur les réalités du Japon féodales sont surprenantes et apportent beaucoup d’indice sur le mode de vie des paysans et des ronins à cette époque de troubles.
Un évènement qui m’a marqué est la scène du début lorsque Kanbei se coupe le chignon pour sauver un enfant d’un kidnappeur en se faisant passer pour un bonze. On peut voir que la réputation des moines de non-violence et de protection est réelle puisque le voleur se fait avoir.
Mais ça montre aussi que le Samurai n’hésite pas à perdre sa dignité en se coupant le chignon et à perdre son honneur en piègeant ainsi le voleur pour sauver un enfant. En temps normal, l’enfant de paysan n’aurait eu aucune signification à ses yeux, et peut-être lui aurait-il fait face sans se soucier de la vie de l’enfant pour suivre son code d’honneur.

On peut voir des combats plus réalistes, moins beau chorégraphiquement, où la traitrise permet de rester en vie, où les pays craignent les guerriers, à juste raison.

Un film superbe que je ne me lasse jamais de revoir.

trailer: http://youtu.be/qZl2M8BLERs

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