Juin 262010
 

Contrairement à ce que je voulais faire au départ, dire deux trois lignes sur cette première journée de stage et rien de plus, je vais quand même détailler un peu les exercices réalisés durant ce stage… Pourquoi? Parce qu’étant le dernier stage de kônan-ryû en France (officiellement) avant le départ définitif de Lionel à Okinawa, je souhaite qu’il reste de ce stage et de tout ce qu’il nous a donné une trace écrite. Le but est que ces descriptions puissent servir à ceux qui ont suivit le stage, pour revoir les exercices proposés et pouvoir se ré-entrainer en ce sens… Je doute que ces notes puissent servir à des gens qui n’ont pas participé à un stage avec Lionel… Bien que de nombreux exercices ont été décrits sur ce blog compte tenu des stages auxquels j’ai participé.

Matin: 10h à 13h

Donc on commence par un échauffement rapide… le programme est vaste et 10 heures de stage (5heures aujourd’hui et 5heures demain) n’est pas suffisant pour aller aussi loin que le souhaiterait Lionel. L’échauffement compte des mouvements articulaires: rotation des genoux avec mouvements du bassin, de la colonne et des chevilles, des mouvements d’ondulation pour préparer au mouvement typiques de grue du kônan-ryû, des coups de pieds de face fouettés, des coups de pied circulaire avec engagement de la hanche et tour complet.


Important d’écouter les explications de l’échauffement, ça évite les blessures

L’échauffement terminé on passe ensuite aux divers exercices qu’affectionnent Lionel et qui compose quelque part la base de son école: sanchin (kata + posture), kitae-waza, renzoku, muchimi.

On commence donc par bouffer du sanchin… Donc définition de la posture: on part de la largeur des hanches, on avance d’un pas un pied afin que le talon du pied avant soit à l’aplomb du gros orteil du pied arrière, on sort les talons vers l’extérieur pour les deux pieds. Lionel explique qu’en Uechi-ryû on ne sort que le pied avant ce qui est une posture tigre, on kônan-ryû on sort les deux talons car c’est une posture grue. Puis on travaille les déplacement dans cette posture.

Dans cette position on travaille le déplacement en posture sanchin mais aussi l’armée d’une frappe et la frappe elle même. Mais pour bien appréhender les sensations et intégrer les principes, Lionel nous fait travailler cela en opposition. C’est à dire qu’au lieu d’avoir un sanchin-kitae basé sur la frappe, il fait pratiquer un sanchin-kitae basé sur l’opposition. Ainsi lorsque j’avance d’un pas en sanchin, mon partenaire me donne une résistance au niveau du haratanden)… ainsi si j’avance la jambe avant le bassin, je suis bloqué par mon partenaire. Si j’avance le corps avant la jambe, pareil… je dois donc avancer en un bloc avec le poids centré sur le milieu du triangle de sustentation (il parait que ça fait intelligent de dire ça)… bref, en sanchin, les fessiers et les abdos toniques (contractés mais pas bloqués), j’avance en un bloc. Pour la partie frappe, lorsque je ramène mon coup sous l’aisselle en vue de la frappe (nukite ou tsuki) je pousse avec le coude le long des côtes et vers le bas jusqu’au bout. Mon partenaire met une opposition devant afin que si je lève le coude et désolidarise l’épaule du dorsal et du pectoral, je ne peux pas pousser la résistance. Puis pour revenir en garde mon partenaire freine le retour de sorte que si j’essaye de tirer le bras vers moi je ne peux pas. Ainsi il faut simplement relâcher la pression du coude pour le descendre, et c’est suffisant. Travailler sanchin ainsi est extrêmement éprouvant! Lionel nous répète: ce qui bouge est décontracté, ce qui ne bouge pas est contracté… sanchin devient alors une alternance de contraction-décontraction.

Pour se reposer on passe ensuite au muchimi. En sanchin, face à face avec mon partenaire on colle nos avant-bras ensemble, un en dessous de celui de mon partenaire et un au dessus. Dans un premier temps, le but est seulement de suivre les mouvements de mon partenaire et lui de suivre les miens… donc il faut décontracter les épaules. Puis on passe à la vitesse au dessus: il s’agit de suivre les mouvements de mon partenaire, mais si je repère un trou dans sa garde, ou si j’en crée un, je rentre une baffe, à la tête, aux épaules ou au ventre. Évidemment, les poulpes ont une facilité à faire cela… et je suis loin d’être un poulpe… L’exercice suivant consiste à marcher sur les pieds du partenaire, non consentant et qui essaye de faire de même. Et c’est ainsi qu’est né la gigue bretonne… Enfin bref, heureusement que personne n’a filmé l’exercice car on devait avoir fier allure à sautiller de la sorte. Pour la suite on additionne les deux exercices précédents: baffe + se marcher sur les pieds… tout en maintenant la position sanchin. Bref, fallait pas avoir qu’un seul neurone actif pour faire l’exercice.


Démonstration sur Tarak

Ce qui est vraiment génial avec les stages dirigés par Lionel, c’est qu’il n’est pas avare ni en « okuden », ni en culture. Il n’hésite pas à ponctuer les entre-exercices avec des histoires sur la culture martiale d’Okinawa, du Karate, sur l’histoire… mais aussi sur les principes de combats qu’il a appris des maîtres les plus prestigieux à Okinawa. Ainsi il n’hésite pas à nous expliquer le rôle du petit doigt (auriculaire) dans la fonction de verrouiller les articulations (lors d’une clef, d’un coup de poing ou de la prise d’un sabre… la raison qui explique pourquoi les yakuza coupaient le petit doigt en punition). Et cette explication et la preuve apportée en se mettant en sanchin Uechi avec les mains en nukite, on voit nettement qu’on n’a rien de verrouillé si le petit doigt n’est pas contracté. Et donc pour fermer un poing dure et destructeur, il faut d’abord fermer le petit doigt avant les autres… contrairement à ce que montrent sur internet dans certaines vidéos des très hauts gradés en karate qui préconisent des fermes tous les doigts en même temps.

Afin de se détendre les épaules et travailler en souplesse et relâchement on attaque divers renzoku.

Mon partenaire attaque un coup de poing direct droit, je pare avec wa-uke droit, puis il enchaine coup de poing gauche et je pare wa-uke gauche pour réattaquer coup de poing droit. Suite à cela on remplace le coup de poing par uraken, un coup de revert du poing. Puis par des coups de coude. J’attaque mawashi enpi uchi droit  en étant en sanchin, bien ancré et en avançant sur le partenaire, qui lui en sanchin et bien ancré va se mettre sur l’arrière pour faire un wa uke  droit, j’enchaine mawashi enpi gauche toujours en lui mettant la pression et mon partenaire toujours penché vers l’arrière (mais avec un sanchin bien ancré il ne perd pas d’équilibre) et pare avec un wa-uke gauche avant de revenir vers moi en allant sur l’avant avec un mawashi enpi droit et que pour parer avec un wa-uke droit je me mets sur l’arrière. Puis on combine tout ça dans un renzoku avec 4 attaques:

1. Attaquant attaque tsuki droit – Défenseur défend wauke droit
2. Attaquant attaque tsuki gauche – Défenseur défend wauke gauche
3. Attaquant attaque mawashi enpi droit  en mettant la pression – Défenseur défend wauke droit en étant sur l’arrière
4. Attaquant attaque mawashi enpi gauche  en mettant la pression – Défenseur défend wauke gauche en étant sur l’arrière

Evidemment pour travailler le renforcement de la ligne d’attaque, Lionel nous introduit (oui je l’ai fait exprès d’utiliser ce verbe) la pratique de kakie. Tout d’abord d’une façon bête et monolithique. Face à face avec mon partenaire je suis en sanchin (lui aussi forcément) et nous somme poignet contre poignet. Lorsque je pousse son poignet vers lui, je tourne mon poignet pour lui présenter mon bord cubital (le côté où il y a le petit doigt… l’auriculaire), lorsqu’il pousse vers moi je tourne mon poignet pour avoir le bord cubital vers moi. Les bourrin peuvent mettre de la résistance, c’est bien, ça muscle bien (mais ça fait mal à l’épaule au bout d’un moment)… par contre les subtiles peuvent  simplement mettre simplement le poid de l’avant bras en opposition (et non une contraction) ce qui permet de travailler l’alternance contraction décontraction. Puis cet exercice intégré (mentalement au moins), on passe à l’étape suivant, après l’avoir fait en statique, on le fait en mouvement. Lorsque je pousse le poignet de mon partenaire contre sa poitrine, j’avance en sanchin, lorsque lui pousse vers moi, je me mets en tsuru dachi. La différence entre neko ashi dachi et tsuru ashi dachi (outre le nom) c’est que neko ashi dachi est ouvert, et sur le bout du pied (à la base des orteils… alors que tsuru dachi est fermé et sur le bout des pieds (préparation au renforcement pour les tsumasaki).

Cet exercice permet d’introduire un nouveau renzoku, évidemment il a été amené progressivement, petit à petit, par groupe de 2 ou 3 attaque/défense, en statique puis en mouvement… mais je ne vous livre ici que le résultat final.

1. Attaquant attaque uppercut au foie du gauche en avançant en sanchin, Défenseur défend gedan barai gauche en étant en tsuru dachi
2. Attaquant attaque jôdan zuki droit, Défenseur défend wa-uke droit
3. Attaquant attaque jôdan zuki droit, Défenseur défend wa-uke droit suivit de wa-uke gauche pour accompagner et écarter l’attaque pour contre-attaquer avec tsumasaki geri jambe avant (forcément ça tombe un peu sous le sens de faire tsumasaki geri lorsqu’on est en tsuru dachi… non? Hein? Si?) et avancer en sanchin pour réattaquer uppercut au foie gauche

Puis pour terminer tous ces exercices d’enchainement, voici un exercice cher à Lionel, qui consiste à voir si on est réellement relâché, mais aussi à développer un lien entre les partenaires et notamment une certaine confiance et notamment briser le frein que donne la peur de toucher l’autre et encore plus au visage avec une claque. Un partenaire est immobile, les yeux ouvert et l’autre enchaine fluidement, rapidement, toutes les attaques de mains, d’avant bras, de coude, de genou, de tibia, de pied, de tête, d’épaule qu’il connait, à toute vitesse, en touchant le partenaire (on transforme les attaques dures en claques pour le visage)… le but est de submerger le partenaire immobile d’un déluge de claques, baffes, coups tout en tournant autour de lui… il faut évidemment donner tout le panel technique possible, le plus vélocement possible. Le partenaire immobile doit garder les yeux ouverts et prendre conscience de ce qui se passe malgrè le flot de coups qui lui tombe dessus. Exercice très intéressant au demeurant, à la fois pour le relâchement, l’expression technique, mais aussi pour celui qui subit de ne pas laisser son cerveau se déconnecter lorsque l’avalanche arrive!


Pique à la gorge ou shutô à la carotide?

On termine cette matiné par une petite photo de groupe.Et pour certains rendez-vous au quartier japonais pour manger des ramen ou des donburi…


Le groupe du matin


Bon faut bien qu’on se lache un peu pour faire retomber la pression

Après-midi : 17h à 19h

Ce qui s’est passé entre 14h et 17h ne sera pas divulgué…

On commence par une mise en jambe avec un petit échauffement articulaire Puis on passe à un exercice pour faire monter le rythme cardiaque. Je suis jambe droite en avant je vais dans un saut ramener ma jambe droit en montant le genou vers la jambe gauche, puis monter le genou gauche pour donner un coup de pied de face (tsumasakigeri) et retomber sur la jambe droite qui devient la jambe arrière et la jambe d’appui au sol (on se tient sur une jambe). Puis immédiatement sans prendre de pose je vais pousser  sur la jambe droite pour sauter à nouveau et passer la jambe droite vers l’avant et retomber comme j’étais.

Même principe mais en rajoutant un autre coup de pied… celui de la jambe droite quand elle passe devant. Donc je reprends, je saute en l’air en montant la jambe droite (jambe avant) puis en montant la jambe gauche pour donner un coup de pied de face et retomber en équilibre sur la jambe droite qui est passée en arrière (en fait on est en équilibre dessus). Sans pause, on pousse sur la jambe d’appuie pour la passer vers l’avant en donnant un coup de pied de face (tsumasaki geri) et retomber avec la jambe qui a donné ce coup de pied vers l’avant et l’autre vers l’arrière. Et comme si ce n’était pas assez difficile, il ne faut pas retomber en shiko dachi, mais en un shiko dachi fermé (je me rappelle plus le nom de la position.. désolé… toutefois, c’est aussi bien comme ça, ça laisse une pointe de mystère). Après avoir effectué ce petit jeu tout seul dans le vide, on passe sur partenaire. Evidemment le tsumasaki geri, faut un peu le contrôler… parce que mine de rien… il peut faire des dégats).

On reprend le premier exercice, mais sans le deuxième coup de pied (qui fait partie en fait du deuxième exercice, mais comme on ne prend que le premier…) lorsqu’on est au moment du deuxième saut  après le coup de pied (le premier coup de pied, puisqu’il n’y a pas de deuxième coup de pied… vous suivez? Non? Bon ben désolé, je ne peux pas expliquer mieux… fallait être là et fallait filmer, NA!). Donc lorsqu’on retombe dans la position initiale (mais fermée et vers l’avant, donc pas un shiko dachi (mais pas un zenkutsu non plus), en l’air, lors de la retombée, on effectue une baffe puis un shutô… Bon une petite description s’impose… Donc je suis jambe droite en avant (donc forcément la jambe gauche est en arrière, à moins que….) je prends une impulsion pour sauter en l’air en remontant le genou droit pour passer la jambe en arrière puis je monte le genou gauche, je frappe shomen geri ou tsumasaki geri de la jambe gauche et retombe donc sur la jambe arrière droite (mais la jambe gauche avec le genou gauche monté (les doigts de pied dirigés vers le bas, mais c’est un détail). Pas le temps de prendre la pause pour la photo, je pousse toute de suite dès que la jambe droite  (sur laquelle je suis en équilibre) a touché le sol pour monter le genou droit et faire passer la jambe droite en avant et la jambe gauche en arrière. Pendant la descente et avant que je touche le sol,  je donne une claque de la main droite à mon partenaire (au niveau martial, on vise la nuque ou la tempe ou le stomach fiveou le nerf mentonnier ou tout à la fois si on est très bon @_@ ). Puis une fois réceptionné au sol j’enchaine par shutô gauche dans la gorge (un peu comme un age uke dans la tronche du partenaire).

A cette exercice on rajoute ensuite mawashi enpi droit puis claque gauche. Ce qui donne donc, saut de la jambe droite vers l’arrière avec coup de pied gauche, on revient jambe droite vers l’avant avec un saut puis claque droite, shutô gauche en remontant, puis mawashi enpi droit puis claque gauche.

Meme exercice que précédent, et on rajoute claque droite, wauke avec saisie de la nuque et on amène le partenaire vers le sol (vers le sol, pas au sol… on reste debout quand même) pour ouvrir ses points vitaux du dos et on le termine avec un shoken droit. Ca ne vous rappelle rien? C’est un bunkai possible du kata seisan… notamment le passage de la fin.

On passe ensuite au travail des technique défense (uke)… qui on le rappelle… uke ne veut pas dire blocage mais réception… et donc a une notion de ne pas arrêter un mouvement (ce que fait un blocage… un blocage bloque… et bloquer un mouvement c’est pas bien… c’est très vilain même… dame Nature n’aime pas ça, et punit le vilain bloquer d’une riposte bien graduée dans le faciès). Donc j’attaque coup de poing droit puis coup de poing gauche, mon partenaire vient brosser le coup de poing droit avec sa main droite du coude vers le poignet en prenant le contact vers le coude et ainsi dévie l’attaque, puis brosse l’attaque gauche avec sa main gauche de la même façon pour dévier l’attaque. Puis on passe à un autre exercice où je vais repousser l’attaque. Cette fois ci sur l’attaque droite je prends le contact avec ma main droite au niveau du poignet et je brosse jusqu’au coude pour repousser. Et je fais pareil avec la main gauche sur l’attaque gauche.

Ce qui introduit un autre renzoku, mais celui là je ne vais donner que la finalité. Alors que bien évidemment il a été décomposé petit à petit pour arriver à ce que l’on cherchait.

1. Attaquant attaque coup de poing droit, Défenseur défend en brossant avec la main droite du coude vers le poignet
2. Attaquant attaque coup de poing gauche, Défenseur brosse du poignet vers le coude avec la main gauche
3. La main gauche qui a repoussé l’attaque gauche continue son mouvement sans arrêt vers le cou de mon partenaire
4.Je donne mawashi enpi droit suivit d’une claque gauche puis uraken droit et shutô gauche et terminer sur shoken droit

Et hop… là aussi on a une autre application sur la fin de seisan (mais aussi de kanshu)

Pour terminer l’après midi de stage, on passe au travail du hakkei.

Dans un premier temps on saisit la ceinture du partenaire et en reproduisant l’ondulation travaillée en échauffement on déplacement le partenaire. Lionel fait remarquer que le mouvement est identique au début du kata sanchin. Et de ce fait il démontre le principe. Dans le kata, au début, on ramène les mains à la hanche et on pique à 45° vers le bas, puis dans un mouvement de rotation des poignet on sert les poings et on les ramène vers le haut dans la garde sanchin. Pour l’application, on vient percuter les côtes flottantes pour casser, puis on saisit les poignets d’amour en serrant bien et dans un mouvement de circonvolution (malaxage), on amène le partenaire à éprouver une vive douleur et se mettre sur la pointe des pieds… et donc on peut le déplacer… ce qu’on fera gaiement.


Si! Si! Véridique… ça fait super mal !

On termine cette journée de stage sur les habituelles photos.

Merci à tous les participants, du matin et de l’après midi… merci pour ce que vous m’avez apporté en terme de progression… merci pour votre sympathie, votre tolérance à mon égard et votre bonne humeur, convivialité et amitié. Ce fut une réelle joie de vous retrouver pour certains, vous rencontrer pour d’autres et échanger avec vous. Encore merci… Et merci pour être venus, cela a fait, j’en suis sûr très plaisir au sensei!

EN conclusion, un stage grandiose, qui montre une fois de plus l’étendu des connaissances de Lionel, ses compétences en tant qu’enseignant, de pédagogue et de karateka… et surtout sa gentillesse, son humour, son désir de donner et d’apporter, de partager, Et surtout il nous a montrer ce qu’était le karate okinawaien et tout le travail qui peut être fait autour de tout ce qu’on peut voir en kihon, dans un kata. il nous a montré aussi que nous ne seront jamais figé dans la pratique et qu’il y a tellement de choses à travailler et à découvrir, apprendre dans cette seule école, que contrairement à ce que croyait Mario McKenna dans cet article, le kônan-ryû a beaucoup beaucoup de chose à offrir sur le très long terme. Simplement il ne faut pas s’en tenir à la pratique de base mais il faut chercher et pratiquer pour soi-même en dehors. Merci beaucoup Lionel, cette journée de stage a été vraiment enrichissante… Vraiment dommage pour tous ceux qui n’ont pu venir…


La photo du groupe de l’après midi


La petite photo pour montrer que bon, c’était sérieux, mais ambiance conviviale (c’était le cas en plus)

add on pour comprendre voici les liens vers les katas:
sanchin
kanshu
seisan

edit: message personnel, Raph, j’ai tenu ma promesse… est-ce suffisamment détaillé? Ca re-servira?

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