Déc 282009
 


On peut souvent voir écrit ici et là un art s’appeler Kyusho-Jitsu… mais qu’est-ce que cela peut-être?

En fait Kyûsho (急所) et non Kyusho, signifie: point de pression (appelés aussi point vulnérable, point tendre)
急 : rapide, pressant, urgent
所 : place, endroit
Chez les japonais Kyûsho représente la partie de l’anatomie masculine située dans l’entrejambe: les testicules.

Jitsu (écrit à tord Jitsu : voir l’article sur Jutsu, Jyutsu ou Jiutsu pour plus d’information…. à savoir jitsu=vrai, jutsu=art, discipline et donc jitsu ne peut pas être utilisé à la place de jutsu), 術 : c’est l’art, la technique au sens de discipline. Par exemple l’astronomie, la chimie, la physique sont des Jutsu.
急所術 : art ou technique des points de pression, n’existe pas au Japon, un japonais comprendra plutôt « art des gonades ou technique des gonades » (si si véridique). Le terme Kyûsho-Jutsu comme science de combat sera compris uniquement par les pratiquants… et encore pas tous… et pour cause je vous laisse lire la suite…

Et pour cause, le Kyûsho jutsu n’est pas un art de combat, ce n’est pas une école japonaise… c’est historiquement inconnu au Japon ou à Okinawa sous ce nom et dans le sens de discipline. Au même titre que les clefs (kansetsu waza), que les projection (nage-waza), les étranglements (shime-waza), les coups portés (atemi-waza),  le kyûsho jutsu est un moyen de combat inclus dans les écoles d’arts martiaux. (cf le livre de Henri Plée sur les points de pression, et notamment les planches d’anatomie relatives aux écoles). Qui n’a pas étudié dans son école le fait de frapper au plexus, au front, aux tempes, sous le nez? Les boxeurs visent bien le foie et le menton (nerf mentonnier)… et bien tout cela c’est du Kyûsho-jutsu. En ce sens le Kyûsho Jutsu est appelé à tord Jutsu, on devrait dire Kyûsho-waza (急所技). la différence entre Jutsu et waza? Jutsu c’est pour une science, un art, un discipline… waza est une technique au sein d’un art ou d’une discipline. Exemple en Jû-jutsu (art de la souplesse), on a des « atemi-waza » (techniques de frappes), des « nage-waza » (techniques de projections), des « shime-waza » (techniques d’étranglement), « kansetsu waza » (techniques articulaires).

Pour la suite j’utiliserai indépendamment les termes Kyusho-jutsu si je parle de la méthode issue Georges Dillman et Kyûsho-waza si je parle de la science des points de pression.

Voici ma vision du Kyusho-jitsu via ma pratique du kônan-ryû avec Lionel-sensei et du Uechi-ryû avec Yukinobu Shimabukuro sensei mais aussi via les stages que j’ai pu faire en France en Kyusho-jitsu avec Leeroy Röder (enseignant et pratiquant de Kyusho-jitsu mais aussi Taijiquan, Nihon jujutsu, ryukyu kenpo et MMA) et parfois Jean-Paul Bindel ainsi que des experts invités en France à cette fin. Ce n’est pas LA vérité mais ma vision de la chose que j’ai développé en pratiquant.

Pour l’histoire du Kyusho-Jutsu c’est ici.
plus d’information sur le site de Dillman: http://www.dillman.com/

Que faut-il en retenir?

Le Kyûsho-jutsu est une création moderne mis en place par un grand pratiquant et combattant américain Georges Dillman. Qui après avoir goûté à l’efficacité des frappes sur les points de pression par un maitre de Karate, a finalement approfondit les principes à l’aide de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) : la théorie des points, des méridiens, des éléments et du yin/yang utilisée en acupuncture et anma/shiatsu (acupressure), mais aussi en phytothérapie, herboristerie, etc…  De ses recherches en MTC et en anatomie basée sur le modèle occidentale (il a confronté son travail à la science selon certains reportages fait à ce sujet) il a développé une discipline basée principalement  sur l’utilisation des points de pression.

Actuellement la mode des arts martiaux est à la self défense… et le discours de Georges Dillman est que:  les points de pression s’insèrent efficacement dans le cadre de légitime défense, car permettant de venir à bout d’un agresseur sans lui occasionner de lésion irréversibles que pourraient faire une clef, une projection…

A mon sens, on retrouve du Kyûsho-waza dans toutes les disciplines enseignées à un niveau moins évolué que ce qu’apporte le Kyusho-jutsu de Georges Dillman. On apprend le stricte nécessaire lié à la stratégie de combat de l’école (combat à distance longue en percussion, à distance courte en percussion, au corps à corps avec saisies, combat poings fermés ou mains ouvertes), et à ses formes d’armes (formes de poing, de pied lors des frappes). Il suffit de lire l’ouvrage « L’art Sublime Et Ultime Des Points Vitaux – Kyûsho, Points Vitaux, Dim Mak, Touches Mortelles, Dim Hsueh, Touches Poison » de Henri Plée et notamment les croquis des points de pression des différentes écoles d’arts de combat qui y sont consignées pour s’en convaincre. De même lorsqu’on pratique un art martial basé sur la percussion, n’apprenons-nous pas que: il faut viser le plexus, la gorge, les tempes… et pour les boxeurs, n’y a-t-il pas plus de KO lorsque le foie est touché en uppercut ou le menton? Tout cela fait partie du Kyûsho-waza.

Qu’apporte la pratique du Kyusho-jutsu?

Une connaissance des mécanismes des points de pression encyclopédiques. Alors que beaucoup d’écoles d’art de combat basent leur travail sur quelques dizaines de points au total, le Kyusho-jutsu permet d’en étudier beaucoup plus (de l’ordre de la centaine), mais aussi leur mécanisme d’action lorsqu’on les enchaîne. Une explication est donnée grâce à la MTC. Ce qui permet d’approfondir des connaissances basiques et pratiques au-delà mais aussi d’avoir une culture plus importante et une compréhension plus grande. Il permet donc d’étudier les points, les méridiens et l’action d’activation des points via les méridiens et leur action sur les organes internes liés à ces méridiens. Certains instructeurs ne s’arrêtent pas à la seul MTC et recherchent aussi des explication anatomiques. En général les points de pression que l’on utilise sont situés au début ou d’un nerf, à un fource de nerf (nerf en « Y ») ou à un croisement de nerf (comme le plexus solaire qui est un point où se croisent plusieurs nerfs). Il y a aussi les apophyses, les tendons, et les cavités… Évidemment certains points de la MTC utilisés en Kyusho-jutsu ne se retrouvent pas anatomiquement et certains points nerveux ne sont pas des points utilisés en MTC (exemple le nerf mentonnier). En outre la pratique du Kyusho-jitsu permet une spécialisation dans les techniques de percussions dû à l’efficacité des points sensibles, mais aussi d’augmenter l’efficacité des autres techniques (luxations, strangulation, projection, etc.). Le kyusho-jutsu est aux arts martiaux ce que le qinna est au kung-fu. Ce n’est pas une discipline à part entière mais cela permet d’augmenter l’efficacité de sa pratique. Il est évident que le Kyusho-jutsu ne s’apprend pas seul et ne se pratique pas seul, il se trouve au centre d’une école déjà existante… ainsi Georges Dillman le pratique au sein du Ryukyu Kenpo (école de karate okinawaien similaire au shito-ryu de par son mélange nahate/tomarite/shurite). De la même façon Jim Hulse l’enseigne via sa pratique de l’Uechi-ryû, Leeroy Röder au sein du Ryukyu Kenpo, du Nihon jûjutsu et du taijiquan… Bref chaque instructeur en kyûsho-jutsu même s’il organise des stages ciblés sur les kyûsho a une ou plusieurs pratiques de référence au sein de laquelle ou desquelles s’intègre le kyusho-jitsu.

Pratiquement, comment ça se passe? Combien de point dois-je connaitre?

Comme me l’explique mon instructeur lors de stages: « en pratique ce qui est intéressant en Kyûsho-jutsu ce n’est pas connaître tous les points, mais connaître les principes de combat qui se cachent derrière les frappes des points… et en application de self-défense il vaut mieux connaître 5 ou 6 points maximum, mais toutes les applications possibles imaginables sur ces points: debout, au sol, en pression, en frottement, en percussion, etc. Que se passerait-il si nous connaissions la centaine de points, les méridiens, la théorie des éléments, etc… Lorsque l’on se trouverait en position où il faudrait se défendre, la sommes de connaissance nécessiterait réflexion et cette réflexion empêcherait une défense spontanée… Il vaut mieux connaître un minimum mais que ça soit spontané et inconscient ». Et c’est peut-être la raison pour laquelle lorsqu’on regarde les croquis des points vulnérables des écoles de combats, ils sont souvent limités à une vingtaines… quelques uns mortels et d’autres incapacitants mais non mortels. Connaître toute la science MTC qui se cache derrière, connaître tous les points et voir toutes les applications est intéressant, de la même façon qu’apprendre toutes les projections du jûdô traditionnels (au sens avec les projections qui sont interdites en compétition)… culturellement c’est intéressant, ça permet d’apprendre les principes qui se cache derrière… mais au final il n’y a qu’au maximum 5 ou 6 projections qui sortiront en combat… pas par manque de connaissance, mais par affinité.  On nous a expliqué que connaitre tous les points, les méridiens, etc… en Kyûsho jutsu, c’est plutôt pour des applications thérapeutiques, donc à réserver au shiatsu et à l’acupuncture… donc un savoir culturel et encyclopédique. Mais en pratique, les points de pression se résume à ce que nous avons dans nos styles: quelques points à cibler.
En pratique aussi, on ne cible pas forcément un point, mais une zone… le point sert à travailler le ciblage des cibles du corps, mais si on percute une zone, on est sûr d’avoir quelques points (frapper en boshiken au visage, en kumade à l’oreille…ça permet d’exciter quelques points). Il est vrai que le kyûsho jutsu avec la MTC permet de trouver des explications là où l’anatomie occidentale ne le permet pas… mais en règle général, un point sensible, un point vulnérable, un point de pression, un kyûsho est une cavité, un début de nerf, un nerf en fourche « Y », une intersection de nerfs, etc… Après le Kyûsho Jutsu apporte la façon de toucher ces points, la façon de frapper, l’angle, la dynamique, etc… Mais c’est ce qu’on retrouve aussi dans nos disciplines, dans nos katas, avec pédagogue et instructeur compétent.

Les dangers de la pratique du Kyûsho-jutsu.

De la même façon que pour la pratique d’arts martiaux, il vaut mieux les apprendre auprès d’un pédagogue qui connaît les effets des techniques, ce qu’il faut faire et ne pas faire et ce qu’il faut faire pour réanimer (voir les gestes des premiers secours)… lors de la pratique des geste de combat en utilisant des points de pression, il vaut mieux pratiquer auprès de quelqu’un. Il faut quand même savoir ce que ça fait de percuter quelqu’un au foie, au menton, au plexus, au front, etc… connaître les effets (pour ne pas être surpris) et savoir éventuellement les gestes de premiers soins à effectuer (PLS, etc…). Concernant les percussions ou actions sur les points liés à la théorie de la MTC, il est dit qu’ils auraient une action sur les organes… ces actions peuvent avoir divers effets. Évidemment dans ce cas il convient de connaître la théorie pour savoir ce qui peut se produire… et évidemment comment réanimer. Là on est sur un terrain que je ne connais pas… Donc je ne peux en parler. Je ne peux que vous conseiller d’aller voir un instructeur certifié et de lui poser la question. Ca devrait être normalement la première chose à apprendre, les techniques de réanimation. Au delà de ça… lors de l’élaboration de sa méthode Georges Dillman a prétendu que la pratique des points dans un cadre d’apprentissage et supervisé par un instructeur et pédagogue compétent, il n’y a normalement aucun problème à long terme. Certains détracteurs du kyûsho-jutsu prétendent que se faire frapper régulièrement sur des points d’acupuncture, sans faire les principes d’équilibrage d’énergie, sans qigong réparateur, nuit à l’organisme à long terme… De la même façon que des médecins accusent le kyûsho jutsu du fait de subir des coups répétés sur des centres névralgiques de détériorer l’organisme. Pour réfuter ces accusations, Dillman a prétendu que depuis le début du Kyusho Jutsu il n’y a aucun problème à remonter… Mais bon… de toutes façon si on le pratique avec un instructeur compétent, de façon convenable avec un partenaire, on travaille doucement… Le but des arts martiaux est avant tout de pouvoir en pratiquer toute sa vie… et non de raccourcir sa vie en les pratiquant.

VB1, GI20, E5 (touché-coulé?) mais c’est quoi?

Afin que les pratiquants parlent la même langue et puissent se comprendre pour communiquer, il convient de créer un syllabaire, c’est à dire un alphabet compréhensible par tous, donc une nomenclature. Si on utilise les noms chinois, l’inconvénient est que les noms sont difficiles à apprendre, à prononcer… et donc à retenir… Alors que prendre un méridien et numéroter les points et s’en référer par le nom du méridien et le numéro du point sur ce méridien est nettement plus simple. Ainsi VB1 est le premier point de la vésicule biliaire, GI20 est le 20ème point du Gros Intestins et E5 le 5ème point du méridien de l’estomac. Evidemment apprendre l’anatomie des méridiens et des points par coeur ne remplace pas la pratique avec un partenaire… Les puristes se réfèreront aux noms chinois, évidemment…  Et c’est cette nomenclature qui est souvent utilisés dans les cours d’acupuncture ou de shiatsu en occident. Ce qui permet aux gens d’apprendre plus facilement, de retenir et de parler le même langage.

Est-il important de connaitre la MTC pour pratiquer le Kyusho-jutsu?

Selon les instructeurs, oui ou non… Beaucoup se réfèrent à la MTC pour apporter des informations que tout le monde peut appréhender et comprendre, voir vérifier dans un livre d’acupuncture ou de shiatsu. Mais de nombreux maître okinawaiens ne connaissent pas du tout la MTC. Ils utilisent leur pratique, savent quels points percuter, sur quels points enchainer… et les effets que ça va provoquer et aussi comment réanimer ou ce qu’il faut faire pour rétablir les disfonctionnements occasionnés. C’est le cas de Tetsuhiro Hokama sensei, 10ème dan de gôju-ryû et kobudô qui est un expert en points de pression, sans pour autant connaitre la théorie de la MTC qu’il y a derrière. Et de nombreux instructeurs dans le monde en Kyusho-jitsu vont s’entrainer dans son dojo pour avoir un aspect pratique basé sur l’expérience à mettre sur leurs connaissances théoriques. En Uechi-ryû et en kônan-ryû, la pratique des points de pression existe… et il n’y a pas de théorie de la MTC derrière… on tape ici et là parce que ça fait mal, on enchaine sur tel, tel et tel point parce que l’effet produit est le suivant, etc… C’est une pratique basée sur l’expérience et le vécu.

Où ce situe le problème alors si c’est si bien?

Le problème à mon avis, vient d’un manque de communication, d’une absence d’explication et surtout des idées reçues et des préjugés que le public se fait à cause des films d’actions américains mais aussi chinois popularisés par Bruce Lee.

D’une part le Kyusho-jutsu explore les tréfonds de la MTC, et tout ce qui touche au Qi/Chi (l’énergie interne), et à sa circulation le long des méridiens. Dans ces études, on trouve des exercices communs avec ce qu’on retrouve aussi au niveau des shiatsu et de l’acupuncture ou même du reiki en terme d’échange énergétique, de relaxation, d’effet plus ou moins hypnotique… On voit souvent des travaux de tests, notamment sous la forme de « to-ate » appelé aussi « KO sans touche ». Ces travaux ne sont que des tests, permettant de savoir si on peut ou non arriver à produire ces effets avec un partenaire. Il est évident qu’avec un partenaire non complaisant qui « résiste »… aucun effet est à voir. Alors que le partenaire sensible et qui se laisse aller, donnera le type de vidéo que l’on peut voir ici ou ici. Comme l’expliquent mes instructeurs (praticiens aussi d’acupuncture et de shiatsu), il s’agit d’exercice de relaxation pour mettre en application des principes énergétique… mais c’est en rien une méthode de combat. Il est vrai que c’est spectaculaire, mais venant d’un art considéré comme art de combat, ça représente un clivage trop grand et donc c’est souvent mal interprêté… voir même pire… des instructeurs incompétents vendent le to-ate comme un art de combat… ce qui donne cela, voir même pire en démontre la pratique contre des attaques au sabre (cf les vidéo de Jean-Jacques Quéro, comme celle-là… je pense que si les attaques au sabre étaient faites par des pratiquants de iai de ma connaissance, Jean-Jacques Quéro ne serait plus de ce monde).  Et donc parmi la communauté de pratiquants d’arts de combat et de combattants, lorsqu’on ne connait pas ce qui se cache derrière ce type de démosntration (relaxation ou charlatanisme), on a envie de tester soi-même… voir on rejette tout en bloc.

D’autre part, les gens non pratiquants voient souvent des les arts martiaux quelque chose d’exceptionnel transportant les pratiquants en guerriers des temps modernes, en justiciers, zen mais redoutable quand on les cherche. Leur vision est celle qu’apporte les films d’arts martiaux, ou seul contre tous le héro gagne à l’aide de techniques les plus incroyables les unes que les autres. Ainsi le travail des points de pression et la MTC donne une image idéale qui colle parfaitement à ce que montre le cinéma. Qui ne vous a pas déjà dit: « tu es une arme humaine… les ceintures noires sont inscrites dans un registre de police et classées comme armes de Xième catégorie » ou « avec ton art, tu pourrais te défendre contre n’importe qui »… Le  summum étant l’image que les gens se font de la ceinture noire… comme étant le grade ultime, sans imaginer qu’il ne s’agit que d’un passage vers une autre forme de pratique, qu’une ceinture noire est une ouverture vers un nouveau monde de pratique: maintenant qu’on possède des bases, on va pouvoir approfondir. On est toujours débutant, mais débutant avec des bases… le chemin passé précédemment a permis de créer ces bases et donc de permettre d’accéder à une autre compréhension de la pratique. Pour les gens non pratiquants, le kyusho-jitsu est une forme de pratique mystique quasi shamanique.

Et lorsqu’on voit des vidéos de kyusho-jutsu, les commentaires sont souvent durs et très critiques…à cause de cette absence de communication, d’explication et parfois à cause d’explications données par des instructeurs mystiques qui sortent complètement de la réalité et apporte une mauvaise image de ces techniques (et surtout un discours fantaisiste)

Comme le disent mes instructeurs: il y a 3 niveaux en kyusho-jutsu
– les points anatomiques : pour la pratique, les applications en combat
– les points en MTC: pour l’apport culturel, l’approfondissement technique et pratique, la spécialisation
– l’énergie, les éléments : pour les puristes, la culture très approfondit, l’aspect encyclopédique et pour les praticiens ou les intéressés par le reiki, les shiatsu, l’acupuncture…
Après, à  chacun de savoir ce qu’il recherche, ce qui l’intéresse, et où il se situe par rapport à ça.

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